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L’AVOCATE GLOBE-TROTTER EST TOMBÉE AMOUREUSE DE L’INDE

Geanina Poroşnicu de la ville d’Iaşi a passé jusqu’aujourd’hui les frontières de 33 pays. De chaque excursion, elle garde des albums archipleins de photographies et d’histoires authentiques sur des gens et des endroits.

Elle a vu la différence notable entre les riches et les pauvres du monde et elle est passée du chaos des grandes villes à la tranquillité accablante des déserts. Elle a vu des geishas dans des automobiles de luxe et des chirurgiens-dentistes qui traitaient les dents des gens même dans la rue.

« Les excursions et les souffrances font meilleur, on se rend compte qu’il y a des choses si importantes dans la vie et qu’on ne paye plus d’attention aux choses banales, à la collègue qui surveille avec mépris ou au passant qui offense”, dit l’avocate Geanina Poroşnicu

Elle n’a pas reçu le visa pour les États

Cette femme de la ville d’Iaşi fait des voyages depuis l’âge de 26 ans et dit qu’elle préfère de dépenser l’argent pour des vacances au lieu de les investir en autres choses. Au premier endroit qu’elle a voulu visiter, elle n’a réussi à arriver ni aujourd’hui: aux États-Unis de l’Amérique. Elle n’a pas été suffisamment crédible pour l’Ambassade Américaine il y a 15 ans et elle est restée si déçue qu’elle n’a pas essayé de nouveau d’obtenir le visa. « J’arriverai enfin là-bas, à présent je crois qu’ils m’acceptent sans doute, parce que j’ai quatre passeports pleins de visas d’entrée et de sortie de divers pays. Il est difficile pour eux de croire que j’y aille seulement en tant que touriste. »

Cependant, elle a aimé l’Inde le plus et elle veut y retourner afin de visiter d’autres parts du pays. Elle dit qu’elle a vu là-bas la plus grande différence entre les riches et les pauvres d’une nation. « J’ai eu besoin d’un micro-passeport pour entrer dans certaines régions de la Capitale, entièrement détenues par une figure extrêmement riche. J’ai été très choquée par l’image des femmes couvertes de kilogrammes d’or. Je crois que certaines femmes portaient également cinq kilogrammes de bijoux à l’exception de sari qui à son tour est brodé en or”, raconte l’avocat.

Parmi les images dont elle se souvient il y a celles avec les bébés qui dormaient dans des boîtes de carton au milieu du chemin ou des chirurgiens-dentistes qui traitaient les dents des gens dans la rue. « Je m’imagine qu’on ne posait pas le problème d’une plus grande propreté ou anesthésie. C’est une différence énorme, c’est ce qui caractérise l’Inde de mon point de vue. Ce qu’on voit avec ses propres yeux les images des documentaires télévisés reste fascinant. J’ai vu comment on incinère des cadavres sur le berge du rivière Gange et puis comment on jette le cendre dans l’eau », elle ajoute.

TOKYO – UNE AUTRE PLANÈTE

A Tokyo on se sent comme le personnage d’un film SF. Ce n’est pas seulement Geanina Poroşnicu qui le dit, mais aussi tous ceux qui ont l’opportunité d’y arriver. Des rues superposées  et des trains à haute vitesse: « En trains, en gares, en parking, en magasins, on ne trouve pas que des toilettés électroniques avec de la musique et des parfums. C’est une merveille! J’ai vu là-bas les plus bruyantes et performantes voitures et motocyclettes, avec des portières qui s’ouvrent dans toutes les positions à l’exception de la position normale. Lorsqu’on se promène sur ces rues superposées, on se sent comme le personnage d’un film SF. Sans doute, tu es là! ».

En Chine elle est premièrement entrée en panique. Elle s’est perdue du groupe et le guide a oublié de compter les touristes, alors l’autobus est parti sans elle. Là-bas, même le passage de la rue reste une aventure. Tout comme en Inde, il y a une agglomération terrifiante, on marche simplement épaule à épaule. On a une sensation effrayante quand on voit qu’on n’a pas de lieu même de retourner et on est simplement pris par la vague. On fait des chaînes humaines, on se tient la main quand on traverse parce que si l’on s’égare il est terriblement difficile de s’y orienter », se souvenait la femme de la ville d’Iaşi.

Elle a été très étonnée par la vitesse accablante avec laquelle on construisait: « Je suis passée par un endroit où ils commençaient une construction et, quand nous nous sommes retournés après trois jours, l’immeuble à plusieurs niveaux était déjà achevé ».

DES IMPRESSIONS

En Irlande on peut trouver les plus élégantes femmes de l’Europe.

En Vietnam, Geanina Poroşnicu a contemplé le seul temple où cohabitent toutes les religions de ce monde: « Il y a là-bas un petit coin pour chaque culte en part. Il est si accablant de voir qu’on peut dépasser les barrières de culture et de religion et qu’un musulman puisse se prier à trois mètres d’un chrétien, sans conflits et sans ressentiments ».

Avec le bassinet à l’école 

Également en Vietnam, l’avocat a senti ce que signifie la surpopulation, phénomène qu’on a entendu seulement aux nouvelles ou dans des documentaires. Parce que le pays est surpeuplé, les vietnamiens ont essayé de s’étendre sur l’eau, alors le fleuve Mekong est plein de maisons, d’écoles ou d’écoles maternelles. « J’ai vu des enfants qui partaient de la maison, montaient dans de petits bassinets et ramaient avec leur petits mains afin d’arriver à l’école. C’est une chose qui touche vraiment », dit Geanina.

L’Irlande: des fêtes dans des tavernes et un petit déjeuner délicieux  

En Laos elle est entrée dans un tribunal et s’est sentie comme dans l’histoire d’« Ali Baba et les 40 voleurs ». « Tout paraît très ancien, avec des bancs en bois qu’on peut trouver à la campagne chez nous. Le juge portait des vêtements traditionnels qui étaient longs jusqu’en bas. Seulement ici on peut le distinguer du reste de ce monde », raconte la femme de la ville d’Iaşi.

Geanina a également vu presque toute l’Europe, mais le pays le plus impressionnant a été l’Irlande, avec des champs pleins de verdure, les églises de la lisière des localités où tous les paroissiens assistent à la messe à la fin de la semaine, le petit déjeuner spécifique avec beaucoup de calories et les fêtes des tavernes de chaque soir: « Il me semble très pittoresque. Ils ont une série de communautés si unies, ils assistent à la messe et puis ils mangent ensemble ».

A Dublin elle a vu les plus beaux vêtements et les plus élégantes femmes, et dans les petites tavernes elle s’est délectée avec le petit déjeuner qui contenait des œufs, des saucissons et du jambon grillé.

BILAN

Elle a dépensé la valeur équivalente d’une villa

L’avocat d’Iaşi se considère porte-bonheur parce qu’elle a réussi de visiter tant de pays. Pendant ses voyages elle a connu des personnes qui voyagent autour du monde tout comme elle. À maintes fois, ils se sont rencontrés dans les mêmes groupes et ils ont parlé de leurs expériences ou ils se sont donné des conseils sur un endroit ou un autre. Elle plaisante qu’elle a dépensé pour les voyages la valeur équivalente d’une villa avec une piscine et du gazon de la dimension d’un terrain de football. Cependant, elle n’a pas de regrets. Afin de réussir à voir tout le monde, Gianina Poroşnicu dit qu’elle investirait dans des vacances encore dix fois qu’elle l’a déjà fait. Sur la liste de ses priorités se trouvent le Disneyland, la Palestine et le Pôle Nord.

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